lundi 12 février 2018

 ALIMENTATION EN EAU

TRAVAUX CONCERNANT L'ALIMENTATION EN EAU
Postérieurement l'alimentation de la ferme du colombier s'effectuait depuis vers l'avenue par un conduit grès de  ° 0.05  en empruntant l'ancien chemin, sa construction était antérieure à la construction de la voie ferrée 14 Août 1861 Réception de travaux concernant le pavage des fontaines effectués par Marlier Jean Baptiste, maçon pour un montant de 124 Frcs sur les fontaines de la grande rue,
Rue Gervas, de la creuse, des carrières de Merviller, des carrières de Criviller, pour cette dernière 13 M2 de pavés.
Le 17 Janvier 1863 acquisition aux époux Helle d'un terrain à servir d'emplacement à un réservoir d'eau.
Le 7 Février 1868 (sur le dit terrain) Réception d'un Aigayoir exécuté par Baderot Claude pour la somme de 850 FRCS compris rabais de 12,02 pour cent moins disant de 6 soumissionnaires
Il s'agit d'un bassin en forme de fer a cheval d'environ 7 mètres de large et 12 mètres de long, profond d'environ 0,80,le fond étant pavé et en pente.
Il était situé à proximité de l'église, et était alimenté par la fontaine qui se trouvait dans la grande rue, de beau lavis en fourni le détail, qu'elle était son utilité ?? lavage des bêtes des chariots ou les deux.
Le 16 09 1874 Un document rédigé par le docteur Alison fait mention d'une épidémie de choléra a Merviller du 18 Septembre 1873 au 6 Décembre 1873 Cette épidémie n'ayant fait aucune victine hors du chef lieu, les précisions sur ce fait font défauts,cependant il est a retenir que le méme jour 3 Novembre 1873 sont décedé Houillon Joseph 46 ans et ses deux enfants Joseph 4 ans et Paul Victor 10 ans
Le 12 Mai 1878 Délibération du conseil municipal
Merviller dispose de 3 Fontaines dont une partie des canalisations sont en bois, le débit total est de 13 litres/minute pour 320 habitants soit 58 litres par habitant en 24 heures, L'eau titre 4ø à l'hydrotimétre.
La fontaine du chemin de Grammont à un débit de 18 litres/minute, Celle du chemin de belle-croix à un débit de 16 litres/minute. Celle des carrières de Criviller à un débit de 15 litres/minute ce qui est suffisant pour 200 habs.
La fontaine de carrières de Merviller et souvent noyer par la Verdurette,elle a un débit de 28 litres/minute.
La fontaine dite des marronniers alimente quelques maisons.
Le 10 Février 1879 Legs par Madame Bastien de Granvillers d'un terrain situé à Vacqueville pour la construction d'un bouge capteur destiné à alimenter en eau les carrières de Merviller par le chemin de Chenelle.
La dite dame impose à la commune l'emploi de tuyaux de Granvillers.
Le 10 Septembre 1879 Adjudication pour travaux de distribution et de conduite d'eau.
On répondu 9 entreprises présentant des rabais de 2 à 14 pour cent, Est déclaré adjudicataire l'entreprise Marroni Jean et Rossi Joseph de Lunéville.
Les travaux concernent la création d'une conduite d'eau de 555 mètres pourvue en tète d'un bouge de captage, et à 400 mètres d'un regard de décharge.
Cette conduite suit sur 287 mètres la rive droite de la verdurette traverse obliquement cette dernière pour la longer sur la rive gauche sur le reste du parcours.
2 eme) Deux Fontaines projetées dans le village à partir du captage au bord du chemin dit de belle-croix,puis l'accotement droit de la départementale Nø 13 de Rambervillers à Bourdonnay soit 769 mètres, Tuyaux de Grandvillers,Sable et gravier de Meurthe, Chaux de Serres ou Petit-Raon, pierre de grès bigarrée de Merviller, Pavé de Montigny, ou Muschelkack.
Le marché d'un montant prévisionnel de 7.085,98 Frcs ne sera réalisé que pour un montant de 5.176,13 Frcs,
Les entrepreneurs sollicitant une demande en résiliation de marché faute de ressource et d'un hiver trop rigoureux, étant dans l'impossibilité de d'achever les travaux. Ceux-ci seront terminés par voie de régie administrative,                                   Rien ne permet de le croire
Le 2 Juin 1895 La conduite d'eau de la fontaine communale dite de la grande fontaine est en très mauvais état, elle perd les 2/3 de l'alimentation.
Un marché‚ de gré à gré entre le Maire Monsieur Bayard et l'entreprise Balin de Rambervillers est conclu pour le remplacement d'une conduite en tuyaux de bois par des tuyaux de grès de 0,05 M. savoir 300 m à 0,8O m de profondeur, 200 m à 1,00 m de profondeur,500 m de grès à 1,7 Frcs le mètre, 8 m de plomb de 0,04 à 8 Kg m à 1 Frcs le Kilo, Gobelet neuf pour partage des eaux à 20 Frcs
2 jets avec raccord à vis en cuivre à 16 Frcs l'unité.
La réception des travaux a eu lieu le 12 Janvier 1896,ont été exécuté 427,5 mètres,2 auges,2 moines, un franchissement de 8,00 mètres sur voie ferrée
L'ensemble pour un montant total de 1668,59 Frcs
Le 26 Janvier 1925 à la réunion du conseil municipal on signal que les fontaines des carrières de Merviller sont déficientes, les sources se trouvent prés de la ligne de chemin de fer de Baccarat à Badonviller entre la gare de Merviller et celle des carrières à contrebas du ruisseau gerva.
Elle fut captée vers 1917 par l'armée Américaine pour leur chevaux, le débit est minime et susceptible de provoquée la typhoïde de ce qui précédé on peut croire que l'alimentation en provenance de Vacqueville n'a pas été réalisé...
Nota:D'autre travaux de captages des eaux ont été réalisé par l'armée Américaine à Criviller et à proximité de la belle-croix avec essai de récupération vers 1937.
Le 22 Juin 1942 Réalisation d'adduction d'eau potable, pose de 275 mètres de conduite de fonte de O/60 par entreprise Bancon de Baccarat le long du CD.435 pour un montant de 25.659,37 F
FONTAINES DES CARRIÈRES DE CRIVILLER
Le hameau des carrières de CrivillerMeurthe, il en résulte que la nappe phréatique noyant les alluvions anciennes et relativement peu profonde.
L'eau y est abondante de nombreuses habitations sont pourvues de puits y compris de celles en position élevée telles les N° 17 -19 -27,Parallèlement sortaient des sources dont trois alimentaient des fontaines.
A l'origine du ruisseau prenant sa source à Criviller se trouvait
la Fontaine du parc dans la parcelle cadastrée 578, Elle avait été aménagée par l'armée américaine en 1918,comportait une importante auge abreuvoir et, une cuve cylindrique en béton de l'ordre de 6 M3.
Une dérivation par conduit métallique alimentait une auge abreuvoir du parc à bovins de ce lieu
Le ruisseau ainsi formé allait se grossir d'une seconde source à droite et à une vingtaine de mètres de la précédente, cette seconde source jaillissait d'un interstice de la roche d'origine désertique du lieu.
Les deux conservaient en toute occasion leur limpidité, le ruisseau allant ensuite alimenter un petit étang .                             Henri Verrelle y déposait ses petites Prises et si trouvait  aussi une barque 
Il recevait ensuite l'apport de la grande fontaine qui comportait trois déversoirs les " coulants " maçonnés à même le mur de soutènement en limite de la parcelle cadastrée 495. A  certaine période pleine section
Il est probable que dans le temps ancien elle sortait d'une faille d'un rocher d'où le nom de " Roche-fontaine "
Par la suite surchargée par les déblais des carrières à l'écoulement naturel est venu s'ajouter des eaux de ruissellement.
Il s'en est suivi que par temps de pluie le débit se trouvait fortement augmenté d'une eau très trouble, durant les hostilités
39/45 elle portait l'inscription " Eau très mauvaise " néanmoins c'était la fontaine principale que consommait depuis toujours les habitants du hameau.                                                                                                                              Les anciens indiquaient qu'il s'agissait d'une résurgence qu'il avait été possible de déterminer avec l'aide de noyaux de fruits ??? 
Le 8 Août 1861 elle avait fait l'objet de la réception de 13 M2 de pavage,Jusque vers les année 1930 elle était bordée d'un rideau de chêne d'où probablement l'appellation " Fontaine aux chênes " Elle comportait trois auges lavoir-abreuvoir peu profond en grès du lieu.
En 1918 elle avait reçu une couverture là aussi par l'armée américaine, couverture qui s'était écroulé sous le poids de la neige vers 1936 livrant à nouveau les laveuses aux intempéries, par un aqueduc établi sous la route départementale l l''évacuation naturelle rejoignait le ruisseau précédemment décrit.
Un second aqueduc plus à droite recevait l'évacuation de " La petite Fontaine" situé sur la parcelle cadastrée 250 elle semblait privée Il semble que dans les temps anciens elle avait été captée sur la parcelle cadastrée 255 dite " La baraque aux vignes" où en 1737 résidait Jean et François Sancre, elle s'écoulait par un conduit vers la parcelle cadastrée 249 où par l'intermédiaire " d'un moine"'elle se divisait en deux conduits dont l'un alimentait le "coulant " se déversant dans deux auges abreuvoirs peu profondes en grès du lieu rendant le puisage peu pratique. En 1939/1940 elle portait l'inscription
" Eau trés bonne" En toute occasion elle conservait sa limpidité sur sa borne était gravée une date probablement année de sa construction que malheureusement dans un élan de contentement la municipalité la fait disparaître.
                        XX a la verticale borne déversoir devant les auges    Actuellement habitations N° 5 Bis  et 7

Sous ce second aqueduc aboutissent plusieurs conduits provenant des caves des maisons avoisinantes, de même par temps d'orage il sert d'exutoire au talweg  Le 4 Septembre 1937 le conseil municipal approuve la construction d'un lavoir couvert à Criviller sur un terrain acquis à Monsieur Verrelle Henri
Le 13 Septembre fut retenu Monsieur Sauer Jacques qui a présenté un devis d'un montant de 5.208 Frcs, Son Chef de Chantier étant TARONI Alexis.
Ce lavoir communal fut établit sur la parcelle cadastrée 571
Il comportait deux auges en béton larges et profondes,
et en été permettait aux jeunes gens du village un bain agréable.
L'ensemble couvert et fermé sur trois côtés, l'eau y était sans cesse renouvelé, amené par un conduit et par l'aqueduc de la grande fontaine

Le lavoir prenait toute sa place dans la vie du hameau, il était un lieu important et jouait un rôle informateur parfois un lieu de médisances
On y voyait courbé sur les bords inclinés des auges les laveuses manier la brosse avec énergie, plongeant le linge en tout sens, savonné de leur gros cube de savon de Marseille puis s'accoupler deux par deux pour le tordre.
Après leurs efforts physiques les laveuses devaient encore remonter tout leur attirail, lessiveuse, brouette la charge étant encore alourdie par le linge sommairement essorée,
Après quelques poses face aux fenêtres pour un nouvel échange de couarails, remonter à leur demeure qui pouvait être très éloignée.L'eau provenant de ces diverses sources formait le ruisseau qui se dirigeait vers Baccarat et qui après avoir traversé successivement deux étangs rejoignait la Meurthe à Baccarat.
C'est à la suite de la mise en service du réseau d'adduction d'eau que malheureusement ces fontaines évocation remarquable du passé furent supprimés.et par la suite le lavoir qui ne présentait qu'un intérêt moindre


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jeudi 8 février 2018

visite sur couriel





























Brouillon










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